Comah

Comah inaugure son label Frost Records avec l’EP Imperium

Comah, l’ovni de la scène française a débarqué il y’a 3 ans  en imposant un style minimal détonant et très caractéristique.
Après avoir fait ses preuves avec son premier album Nemesis, sur lequel il s’est entouré de pointures dans leur domaine comme R3ckzet, Madmal et Droplex, il n’a pas cessé de fasciner les foules.
Que ce soit avec ses remix  épiques comme lorsqu’il a repris Le Bask, où lors de ses prestations explosives sur scène, chacune de ses apparitions est toujours couronnée de succès et fait trembler les fans du genre.

Le jeune Montpellierain est rapidement devenu la nouvelle idole du public français avec une recette inédite : des samples vocaux français provocateurs et une techno minimal novatrice, justement dosée pour faire vibrer le dancefloor sur des notes des plus agressives, tout en séduisant un public large.
Son style unique n’a pas tardé à transcender les scènes internationales et à se faufiler dans les tops 10 Beatport.

Et si le jeune producteur à rapidement gravi les échelons de la production, il n’est pas surprenant de le voir aujourd’hui se lancer en solo en créant son propre label Frost Records.


Et bien que la techno minimal progressive qu’il propose soit unique en son genre, le credo de son label reste la diversité. Il ouvre la page Frost en appelant à lui envoyer des démos sans aucune conditions. Comah laisse la porte ouverte à tous, aux producteurs expérimentés tant qu’aux amateurs, de tous horizons avec pour seule exigence : “réaliser des productions de qualité”

 

C’est avec son EP Imperium qu’il inaugure le label et lance sa ligne directrice, des productions pointues et exigeantes. Sur ce 4 titres Comah prouve l’étendue de son talent avec le track “Imperium” et son sample vocal démoniaque, pur produit de son expérience inimitable. Mais plus encore avec le titre “Nuclear” plus aiguisé sur lequel il bouscule sa zone de confort pour laisser place à des inspirations techno sombres, issues de tracks tels que “Dave The Rave” de Ansome.

 

On vous laisse “contempler la puissance des enfers” à votre tour !

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